Publié
Durée de la vidéo : 1 min
Dans la bande de Gaza, une boulangerie a pu rouvrir ses portes grâce aux livraisons de farine du Programme alimentaire mondial de l’ONU, mais il n’y en aura pas pour tout le monde. La famine et la pauvreté augmentent chaque jour à Gaza.
Une ligne sans fin. Dans la bande de Gaza, il faut attendre des heures pour avoir un morceau de pain. Une boulangerie vient de rouvrir ses portes, après des mois de fermeture. Mais obtenir une miche de pain là-bas est un parcours du combattant. “J’ai attendu six heures pour avoir du pain. C’est un combat extrêmement difficile. C’est injuste de n’avoir qu’une seule boulangerie pour nourrir tout Gaza.”déplore un habitant.
L’ONU appelle à un accès sûr et constant à Gaza
A l’intérieur, les machines tournent à plein régime. L’activité a pu reprendre grâce aux livraisons de farine du Programme alimentaire mondial de l’ONU. Mais les provisions ne dureront que quelques jours et il n’y en aura pas pour tout le monde. À Gaza, la famine et la pauvreté augmentent chaque jour un peu plus, et les quelques parachutages de nourriture qui permettent aux Gazaouis de survivre n’y changent rien. L’ONU réclame désormais un accès sûr et constant au territoire palestinien, pour éviter une catastrophe humanitaire.
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Dans la bande de Gaza, une boulangerie a pu rouvrir ses portes grâce aux livraisons de farine du Programme alimentaire mondial de l’ONU, mais il n’y en aura pas pour tout le monde. La famine et la pauvreté augmentent chaque jour à Gaza.
Une ligne sans fin. Dans la bande de Gaza, il faut attendre des heures pour avoir un morceau de pain. Une boulangerie vient de rouvrir ses portes, après des mois de fermeture. Mais obtenir une miche de pain là-bas est un parcours du combattant. “J’ai attendu six heures pour avoir du pain. C’est un combat extrêmement difficile. C’est injuste de n’avoir qu’une seule boulangerie pour nourrir tout Gaza.”déplore un habitant.
L’ONU appelle à un accès sûr et constant à Gaza
A l’intérieur, les machines tournent à plein régime. L’activité a pu reprendre grâce aux livraisons de farine du Programme alimentaire mondial de l’ONU. Mais les provisions ne dureront que quelques jours et il n’y en aura pas pour tout le monde. À Gaza, la famine et la pauvreté augmentent chaque jour un peu plus, et les quelques parachutages de nourriture qui permettent aux Gazaouis de survivre n’y changent rien. L’ONU réclame désormais un accès sûr et constant au territoire palestinien, pour éviter une catastrophe humanitaire.