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Durée de la vidéo : 2 minutes
Les prochaines élections législatives s’annoncent très serrées. Alors que le premier tour aura lieu le dimanche 30 juin, à quoi faut-il s’attendre ? Mode d’emploi et explications.
Alors que le résultat des élections européennes est à peine digéré, une nouvelle campagne de trois semaines débute lundi 10 juin. A Bordeaux (Gironde), des militants du Rassemblement national (RN) sont déjà à pied d’œuvre au service de leur député sortant. « Le but est d’aller retrouver nos électeurs, que nous avons identifiés (…). Et ceux qui ne sont pas allés voter, allez leur dire que les 30 juin et 7 juillet, il faut absolument (qu’ils bougent)”explique Frédérique Joint, conseillère régionale RN.
A l’Assemblée nationale, où tous les travaux sont suspendus, lundi matin, chaque camp se prépare. Le pari est risqué pour Emmanuel Macron. Outre les conséquences des élections présidentielles, la précédente dissolution, décidée par Jacques Chirac en 1997, s’était soldée par une défaite de son camp et l’arrivée au pouvoir de l’opposition, alors incarnée par Lionel Jospin.
Aujourd’hui, la première opposition est le RN. Le parti, de son côté, se prépare à la cohabitation. Les réunions se succèdent au siège du parti concernant l’identité de celui qui entrerait à Matignon en cas de victoire.
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Les prochaines élections législatives s’annoncent très serrées. Alors que le premier tour aura lieu le dimanche 30 juin, à quoi faut-il s’attendre ? Mode d’emploi et explications.
Alors que le résultat des élections européennes est à peine digéré, une nouvelle campagne de trois semaines débute lundi 10 juin. A Bordeaux (Gironde), des militants du Rassemblement national (RN) sont déjà à pied d’œuvre au service de leur député sortant. « Le but est d’aller retrouver nos électeurs, que nous avons identifiés (…). Et ceux qui ne sont pas allés voter, allez leur dire que les 30 juin et 7 juillet, il faut absolument (qu’ils bougent)”explique Frédérique Joint, conseillère régionale RN.
A l’Assemblée nationale, où tous les travaux sont suspendus, lundi matin, chaque camp se prépare. Le pari est risqué pour Emmanuel Macron. Outre les conséquences des élections présidentielles, la précédente dissolution, décidée par Jacques Chirac en 1997, s’était soldée par une défaite de son camp et l’arrivée au pouvoir de l’opposition, alors incarnée par Lionel Jospin.
Aujourd’hui, la première opposition est le RN. Le parti, de son côté, se prépare à la cohabitation. Les réunions se succèdent au siège du parti concernant l’identité de celui qui entrerait à Matignon en cas de victoire.