La réforme met notamment en place une procédure de « filtrage » des migrants aux frontières de l’UE afin de les identifier et de distinguer plus rapidement ceux qui ont une chance d’obtenir l’asile de ceux qui sont susceptibles d’être renvoyés dans leur pays d’origine. ‘origine.
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Temps de lecture : 1 min
La fin de négociations qui ont duré plus de trois ans. Mardi 14 mai, les pays de l’Union européenne ont donné leur feu vert définitif au pacte sur la migration et l’asile, une vaste réforme qui durcit le contrôle de l’immigration en Europe.
Moins d’un mois avant les élections européennes pour lesquelles les sondages prévoient une montée en puissance des partis anti-immigration, cet ensemble d’une dizaine de textes législatifs a été formellement adopté par le Conseil de l’UE, représentant les Etats membres. Le Parlement a donné son approbation en avril. La Hongrie et la Pologne ont voté contre tous les textes, qui ont été adoptés à la majorité qualifiée (55% des Etats membres représentant au moins 65% de la population de l’UE). L’Autriche et la Slovaquie ont voté contre certaines.
La réforme instaure une procédure de « contrôle » des migrants aux frontières de l’UE afin de les identifier et de distinguer plus rapidement ceux qui ont une chance d’obtenir l’asile de ceux qui sont susceptibles d’être renvoyés dans leur pays d’origine. origine. Il établit également un mécanisme de solidarité entre les 27 pays prenant en charge les demandeurs d’asile.
Les organisations de défense des droits de l’homme, ainsi que les élus de gauche et écologistes, n’ont cessé de dénoncer ce pacte, critiquant la possibilité de placer en détention des familles avec enfants et un « criminalisation » exilés. A l’inverse, l’extrême droite a dénoncé le « faiblesse » de réforme.
La réforme met notamment en place une procédure de « filtrage » des migrants aux frontières de l’UE afin de les identifier et de distinguer plus rapidement ceux qui ont une chance d’obtenir l’asile de ceux qui sont susceptibles d’être renvoyés dans leur pays d’origine. ‘origine.
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La fin de négociations qui ont duré plus de trois ans. Mardi 14 mai, les pays de l’Union européenne ont donné leur feu vert définitif au pacte sur la migration et l’asile, une vaste réforme qui durcit le contrôle de l’immigration en Europe.
Moins d’un mois avant les élections européennes pour lesquelles les sondages prévoient une montée en puissance des partis anti-immigration, cet ensemble d’une dizaine de textes législatifs a été formellement adopté par le Conseil de l’UE, représentant les Etats membres. Le Parlement a donné son approbation en avril. La Hongrie et la Pologne ont voté contre tous les textes, qui ont été adoptés à la majorité qualifiée (55% des Etats membres représentant au moins 65% de la population de l’UE). L’Autriche et la Slovaquie ont voté contre certaines.
La réforme instaure une procédure de « contrôle » des migrants aux frontières de l’UE afin de les identifier et de distinguer plus rapidement ceux qui ont une chance d’obtenir l’asile de ceux qui sont susceptibles d’être renvoyés dans leur pays d’origine. origine. Il établit également un mécanisme de solidarité entre les 27 pays prenant en charge les demandeurs d’asile.
Les organisations de défense des droits de l’homme, ainsi que les élus de gauche et écologistes, n’ont cessé de dénoncer ce pacte, critiquant la possibilité de placer en détention des familles avec enfants et un « criminalisation » exilés. A l’inverse, l’extrême droite a dénoncé le « faiblesse » de réforme.