« Brexit ». Jusqu’en 2020, le terme était sur toutes les lèvres intéressées par l’actualité de l’Union européenne (UE). En Autriche, ce portemanteau composé des termes Grande-Bretagne (Grande-Bretagne) et sortie (sortie) Cela a même inspiré les eurosceptiques locaux, qui ont inventé leur propre terme – « Öxit » – pour désigner la sortie de l’Autriche de l’UE. Un événement que certains d’entre eux espéraient.
Mais les conséquences de l’expérience britannique semblent avoir calmé leur enthousiasme pour ce terme, constate le journal de gauche. La norme. “Beaucoup semblent avoir compris que sortir du marché unique, rétablir les contrôles aux frontières et opter pour le retrait n’était peut-être pas l’idée du siècle, surtout pour les petits pays qui n’ont pas “l’influence du Royaume-Uni – le deuxième plus grand pays économiquement”. puissance en Europe. »
Le constat est clair, la République des Alpes aurait beaucoup à perdre si elle sortait de l’UE, assure La Presse. Le quotidien conservateur cite une étude de l’Institut de recherche économique (
« Brexit ». Jusqu’en 2020, le terme était sur toutes les lèvres intéressées par l’actualité de l’Union européenne (UE). En Autriche, ce portemanteau composé des termes Grande-Bretagne (Grande-Bretagne) et sortie (sortie) Cela a même inspiré les eurosceptiques locaux, qui ont inventé leur propre terme – « Öxit » – pour désigner la sortie de l’Autriche de l’UE. Un événement que certains d’entre eux espéraient.
Mais les conséquences de l’expérience britannique semblent avoir calmé leur enthousiasme pour ce terme, constate le journal de gauche. La norme. “Beaucoup semblent avoir compris que sortir du marché unique, rétablir les contrôles aux frontières et opter pour le retrait n’était peut-être pas l’idée du siècle, surtout pour les petits pays qui n’ont pas “l’influence du Royaume-Uni – le deuxième plus grand pays économiquement”. puissance en Europe. »
Le constat est clair, la République des Alpes aurait beaucoup à perdre si elle sortait de l’UE, assure La Presse. Le quotidien conservateur cite une étude de l’Institut de recherche économique (